Articles de presse
Article (en italien) à propos de la rencontre à Rome le 9 Mars 2018 et de l'ouvrage Quand seuls restent les mots d'Albert Nguyên
par Roberto Arduini Article publié sur le site http://culture.globalist.it Article à propos de l'ouvrage Sur le divan
publié dans Le Magazine Littéraire, Avril 2017 |
Article à propos de la rencontre avec Anita Izcovich
publié dans La Montagne, mai 2017 |
Rencontre autour des ouvrages
La femme, la lettre et l'image d'Anita Izcovich et La perdiction de Georges Bataille d'Albert Nguyên le 26 février 2017 à la librairie Tschann Michel Bousseyroux
"Je prends ces deux livres comme des hommages à l'impossible." "Albert Nguyên et Anita Izcovich sont des analystes qui savent rendre la psychanalyse vivante." N. Cordova Naitali "Ces deux ouvrages nous apprennent beaucoup sur le corps parlant et sur la question féminine." Article de Jean-Marc Savoye
à propos de l'ouvrage Sur le divan publié en mars 2017 dans la revue Lire |
Article à propos de l'ouvrage Sur le divan
publié dans l'Infirmière Libérale Magazine, n°334, Mars 2017 |
Article de Jean-Pierre Denis
à propos de l'ouvrage Sur le divan publié le 9 février 2017 dans le journal La Vie |
Article de Michel Bousseyroux à propos de l'ouvrage d'Albert Nguyên La perdi(c)tion de Georges Bataille
Article publié sur le site www.oedipelesalon.com
|
Article - Le Mondes des livres du 19 janvier 2017
Un article à propos de l'ouvrage Sur le divan est paru dans le numéro du Monde des livres en date du 19 janvier 2017. « La cure comme déplacement : "Ce que je retiens de ces années-là, c’est le chemin". Ainsi s’ouvre le texte que Véronique Olmi a donné à un beau recueil collectif rassemblant des récits d’analyse, récits fictifs ou d’autofiction, tous signés d’écrivains ». « extrême sensibilité à l’espace hors cadre, au temps de l’arrivée en séance et du retour ». |
Rencontre autour de l'ouvrage Sur le divan
le 15 janvier 2017 à la librairie Tschann |
Luis Izcovich :
"Comment, en disant ce qu'on n'arrive pas à dire, on transforme quelque chose de soi". "La littérature, la poésie tout comme la psychanalyse tentent de dire ce qu'on ne peut pas dire". Laurence Nobécourt : "On peut atteindre des endroits par l'écriture qu'on ne peut pas atteindre par l'oralité". Gilles Rozier : "Là où il y a quelque chose en commun entre la psychanalyse et l'écriture, c'est au niveau de la progression". "J'ai écrit en littérature ce que je pouvais imaginer du contre-transfert". Olivia Elkaim : "J'ai été très sensible au terme 'analyse de survie' ". Isabelle Spaak : "Dans tous nos textes, il y a des choses communes : l'endroit, le chemin mais aussi des choses plus anecdotiques". Anne Plantagenet : "J'ai parlé de ce qui est une nécessité pour moi : l'amour". Emilie Frèche : "L'écriture ne m'intéresse que si elle me met en danger". Camille Laurens : "Pour moi, la psychanalyse c'est un lien d'amour". "Le texte que j'ai écrit veut témoigner de mon rapport avec la psychanalyse". |
Article - Les marques d'une psychanalyse
article publié dans le journal La Montagne le 30 novembre 2016 à propos de la rencontre avec Luis Izcovich à la Librairie Les Volcans à Clermont-Ferrand le 5 novembre 2016. |
https://twitter.com/EditionsStilus
Alain Vanier :
"Les thèses de Luis sont avancées à la première personne : je trouve que cette approche est très intéressante." "Dans la troisième partie de son ouvrage, Luis mène un développement très intéressant sur la notion de différence absolue." "C'est un livre à la fois décidé et nuancé, que je considère comme très important." Jean-Jacques Tyszler : "Le passage sur le lambeau de discours m'a beaucoup ému." "Dans une psychanalyse, il ne s'agit pas seulement de déchiffrer mais de réécrire." |
Article - Les marques d'une psychanalyse
Article paru dans le journal italien l'Unità le 09 juin 2016 à propos de l'ouvrage Les marques d'une psychanalyse de Luis Izcovich
|
Interview de Luis Izcovich
Luis Izcovich, invité par Oedipe le Salon le 12 avril 2016 à propos de son livre "Les marques d'une psychanalyse" Présentation de Francis Cohen et Delia Kohen La vidéo est disponible sur le site Oedipe le Salon. |